La crise économique qui sévit actuellement en Europe a un impact sur la vie quotidienne de nombreuses personnes. Elle est au cœur des préoccupations de certains et ses effets ont pu se faire ressentir aussi bien sur la vie personnelle que sur les loisirs. Limiter les dépenses au maximum devient pour beaucoup le mot d’ordre général. Mais qu’en est-il du domaine de l’amour et de la passion ? Ces domaines sont-ils aussi impactés par la crise ?
C’est à ces questions que la dernière étude réalisée par ELITEDATING auprès de ses membres a tenté de répondre*. Le résultat : lorsqu’il s’agit d’amour et de passion, les célibataires belges ne veulent pas entendre parler de la crise !
41 % des personnes interrogées disent ne pas ressentir directement les effets de la crise. Cependant, le pessimisme ambiant ne semble pas avoir d’influence sur la recherche de l’amour, du bien-être et de l’épanouissement personnel : en effet, 46 % ne pensent pas que la situation actuelle complique leur quête de l’amour. Bien au contraire, ils sont même plus de 65 % à penser que la morosité générale incite plus vivement les gens à rechercher des moments de complicité et de bonheur à deux. Car oui, il est plus simple d’appréhender les joies et les peines en couple, et construire une relation amoureuse permet d’avoir plus facilement confiance en l’avenir (77 %).
Enfin, en ce qui concerne la question cruciale du budget consacré à la séduction et aux petites attentions, plus de 50 % des personnes interrogées déclarent ne pas avoir modifié leur budget « achats pré-rendez-vous amoureux », et n’avoir rien changé aux dépenses allouées aux petites attentions, fleurs ou chocolats. Seul changement notable concerne les dépenses réservées à la restauration : 70 % des célibataires belges privilégient les dîners préparés à la maison plutôt que le restaurant. Cette étude nous montre que finalement, il n’y a pas de mauvais moment pour tomber amoureux.
*Etude ELITEDATING réalisée auprès 517 membres belges célibataires.